Car il n’existe pas une, mais des Bretagne. Celle de la mer, des embruns, des îles, des côtes et des disparus; celle des forêts qui, par l’empreinte des récits légendaries, gardent le charme un peu maléfique des mystères; celle des chapelles, des enclose et des calvaires; celle des landes, mauves, rousses ou vertes où roule le tracteur et cheminent les moutons. Celle des usines qui transforment et qui créent, celle du remembrement et des élevages industriels. …